mercredi 15 avril 2015


Dehaeze Ophélie
Delannoy Aaron 



Production de grains 

Séance du 8 avril 2015

I) Vérification du montage :

Suite à la dernière séance (le montage ne fonctionnait pas), nous avons du refaire et contrôler le montage pour trouver ce qui ne fonctionnait pas.
Après vérification nous avons constaté que sur le circuit imprimé il y avait un cour circuit. Donc nous avons du couper la piste qui créaient ce cour circuit. Une fois coupées nous avons réessayé le montage et on a constaté que le montage fonctionnait. Un autre problème est apparu, qui causait un dysfonctionnement intempestif, cela venait du fait que certainesbornes  double puits n’était pas suffisamment serrées sur le circuit d’où des mauvais contacts par intermittence.

II) Vérification du montage a l’aide d’une résistance :

Nous avons rajouté  sur le montage précédent une charge de  33 ohms (rhéostat)  [référence au montage de fonctionnement de l’IGBT]. Nous obtenons des courbes correctes

III) Montage à l’aide d’une bobine :

Nous avons refait le montage sauf que nous avons changé la charge par une bobine  de 4.5 A et 500 spire. Nous avons constaté que la bobine était trop faible en intensité donc nous avons pris une bobine de 250 spire et 10 A. Nous avons constaté que les vibrations étaient plus fortes. Pour avoir de forte amplitudes  nous avons mis une potence  pour augmenter l’amplitude.
Nous avons fait les réglages suivant : GBF : créneau, 50 HZ, offset pour avoir une amplitude positive.

Vge strictement positive avec offset

mercredi 8 avril 2015



La colle

08.04.15




Nous avons essayé diverse manière afin d'étaler la colle et de faire en sorte que les grains de sable y tiennent. Mais le sable était trop fin. Nous avons donc du casser un vase en petit moceau, pour remplacer les grains de sable.



Nous avons remarqué que lorqu'on étalait la colle et la laissions sécher, celle-ci avait l'aspect d'un plastique.
La colle
 
25.03.15:
Observation de la pate de polystyrène + acétone,
après une semaine de "séchage"

 
Nous avons fait des petits morceaux afin d'essayer
de réobtenir une pate en y ajoutant de l'acétone
 






Résultat: Le produit obtenu c'est très légèrement ramoli. Mais nous avons vu que cela était en parti à l'acétone, car celui-ci n'était pu aussi efficace qu'avant, car nous avons tenté de refaire fondre du polystyrène, mais ça ne refonctionnais pas autant qu'avant.


Nous avons mis de le mélange obtenu sur du papier,
et après avoir laisser sécher, nous avons observé que ça collé.

 
Nous avons donc essayé d'étaler le mélange afin d'y disposer les grains de sables. Mais à peine a-t-on disposer une fine couche du mélange, il y avait déjà une pilicule qui se faisait et donc empêcher aux grains de s'impregnier dans le mélange.
Après nous avons donc essayer de mélanger directement les grains avec le mélange, résultat on a obtenu une "galette".

 

mercredi 25 mars 2015

Groupe dureté

En ce jour du 25/03 2015 nous avons effectué un programme labview permettant de relever la force et la masse appliqué sur l'échantillon testé.
Nous avons effectué ce programmme labview d'après le cour d'informatique , nous avons repris le programme de la balance et nous avons ajouter un indicateur de force.(voir image)
Ensuite nous avons percé un trou dans notre duromètre pour y placer une jauge de contrainte.Nous avons ensuite placer deux cales pour que la jauge ne soit pas en contrainte avec la plaque en fer du duromètre.
Nous allons mardi prochain faire des échantillons au laboratoire des matériaux pour effectuer nos tests avec le duromètre.

Programme labview


photo du duromètre avec le capteur et la pointe de tungstène

La colle


La colle.


Mercredi 18 mars 2015 : 

Nous nous sommes penché sur l'épaisseur de colle que nous allions utiliser pour étaler de façon homogène la colle (Avec le système que nous avons trouvé précédemment). Nous avons donc mesuré l'épaisseur de plusieurs matériaux tel que le papier aluminium, du fil de fer, une lamelle d'acier etc.. 

Nous avons remarqué que l'épaisseur du fil de fer était le plus intéressant pour notre projet.





Ensuite, nous avons fait une expérience avec du polystyrène.
Cette expérience consiste à mettre de l'acétone dans un récipient (exemple: bécher ), et à introduire dans ce dernier le polystyrène. On observe que le polystyrène se met à fondre. Après avoir mi plusieurs morceaux de polystyrène dans l'acétone, nous voyons qu'il se forme une pâte blanchâtre que nous avons ensuite mélangé.
Puis  nous avons déposé une couche du produit obtenue sur une feuille que nous avons replié. Nous avons remarqué que les deux morceaux de feuille collé légèrement et que lorsqu'on les décollé on observer des petits filament.





La semaine prochaine, nous allons voir l'évolution de notre expérience avec le polystyrène puis nous allons faire d'autres expériences avec d'autres matériaux.

lundi 23 février 2015

Séance du 18/02/2015 (BECOURT et BENKHADRA)
Lors de cette séance nous avions essayé d'utiliser un autre logiciel afin de définir la forme des grains.

mercredi 18 février 2015


Delannoy Aaron
Dehaeze Ophélie
Production de grains :
Les 3 dernières séances ont été regroupées dans ce compte rendu.
2 séances pour Wintypon
1 séance pour réaliser le circuit imprimé

Séance du 4 février 2015 :

Nous avons réalisé sur wintypont un circuit imprimé. Pour réaliser le circuit imprimé nous avons dû d’abord tracer le circuit sur le logiciel wintypont en mettant des pastilles à l’emplacement des composants et les traits de cuivre pour connecter les composant entre eux. Il a fallu faire attention à:
- l'organisation de la plaque pour pas que les fils ne se touchent ni s'entrecroisent
-La taille des pastilles, de la plaque et des fils de cuivres
Ensuite nous avons imprimé le modèle sur la plaque à l'aide d'une machine et  pour révéler le cuivre nous avons plongé la plaque  dans de la soude puis dans le perclot. Au final nous avons obtenu notre circuit imprimé.

Séance du 18 février 2015 :

Le circuit imprimé a été réalisé et nous avons pu faire des trous de différentes tailles c’est-à-dire des  gros  trous pour les doubles puits et des plus petits pour les diodes et des très petits trous pour relié l’anode des diodes au circuit.

Au  cours de cette séance nous avons réalisé un montage pour tester une diode inconnue dont on supposait qu’elle soit rapide.

En analysant les graphiques donnés par l’oscilloscope, on constate que pour la diode inconnu le temps de recouvrement est de 5 µs tandis que la diode connu soit BY255 ,1300 V-3A, a un temps de recouvrement de 15 µs.

 Donc la diode inconnu est plus rapide que la diode BY255. On pourrait donc  s’en servir pour notre montage.

Ensuite nous avons testé avec les diodes que l’on voulait utiliser pour le circuit imprimé.

On obtient un temps de recouvrement de 10 µs. Soit un temps supérieur à la diode testé (l’inconnue).

Cette diode est donc moins performante que la diode inconnue.

Comme nous avons déjà fait les trous sur le circuit imprimé nous utiliserons les diodes que nous avions prévu. On pourra faire un autre circuit imprimé avec les diodes inconnues pour comparer.
Remarque:
Nous n'avons pas pû mettre de photos car nous avons rencontré des problèmes avec Blogger.
Pour la prochaine séance il faudra souder le circuit et le tester. 







La colle


18.02.15 :

Aujourd’hui, nous avons fait quelques recherches sur le principe de la rhéologie, et nous avons réfléchi à comment on pourrait réaliser un système afin de pouvoir étaler la colle de façon homogène sur toute la surface.
La rhéologie une branche de la physique qui étudie l’écoulement ou la déformation des corps sous l’effet des contraintes qui leur sont appliquées, compte tenu de la vitesse d’application de ces contraintes ou plus généralement de leur variation au cours du temps.
Pour pouvoir étaler la colle de façon homogène, nous avons trouver un système constituer d'une plaque en métal où nous avons visser deux fine plaquette de tel sorte que l'on obtienne une fine  couche de colle sur un morceau de papier. 




La Colle


11/02/15: 

Nous avons essayé de diluer (avec l'essence C et l'acétone)  de la colle néoprène mais cette fois ci liquide et non en gel mais le résultat n'était toujours pas celui désiré la colle ne sait pas dilué elle est même devenu un peu compact, elle n'était plus liquide. 

Nous avons donc fait le test du solvant c'est a dire de calculer le pourcentage de solvant qu'il y a dans la colle néoprène liquide pour comparer ce pourcentage à celui de la néoprène en gel. Nous avons constaté qu'il y avait 24% de solvant dans la néoprène liquide et 50% dans la néoprène gel. On se demandait donc si la néoprène n’était pas juste un nom, si la composition chimique était la même dans ces deux formes de colles ou non.

Résultats:

          3                     2                       1                


Bécher 1:
-Masse du bécher à vide: 32.55g
-Masse de colle: 0.32g
-Masse essence C: 0.35g
Bécher 2:
-Masse du bécher à vide: 32.64g
-Masse de colle: 0.19g
-Masse acétone: 0.24g

Bécher 3: 
-Masse du bécher à vide: 30.94g
-Masse de colle: 0.29g
-Masse essence C: 0.15g




La semaine prochaine:  
* Nous allons essayer de fabriquer un système pour étaler la colle de façon homogène avec un système de raclette et de railles. 
* Essayer de voir quand les grains se décollent du papier.
* Se renseigner sur la rhéologie.

mercredi 4 février 2015

La colle

La colle



Le 28.01.2015 :

Cette séance a été consacrée à la dilution du néoprène.

Nous avons testé différentes méthodes pour y arriver.
Tout d’abord, nous avons mis dans 2 béchers différents du néoprène :
=>Dans le premier nous avons mis autant d’acétone que de néoprène
=>Dans le deuxième, nous avons mis deux fois plus d’acétone que de néoprène.

Puis nous avons refait la même, mais en remplaçant l’acétone par l’essence C.
Nous avons constaté, que même en doublant les doses d’acétone nous n’observions pas de dilution, juste une décoloration de la colle. Nous avons donc tenté de les diluer en étant à proximité d’une source chaude (chauffage), tout en homogénéisant, mais nous n’avons remarqué aucun changement. Puis en faisant plein de petits morceaux de la colle néoprène, afin de voir si le fait d’être moins compact pouvait aider à la dilution. Mais toujours pas de changement.

Du coup, nous les avons laissé, nous avons mis un gant autour du bécher afin d’éviter l’évaporation des solvants, que nous avons maintenu à l’aide d’un élastique.



Le 04.02.2015 :

Résultats obtenus :
Aucun des solvants n’a réussi à dilué la colle.

1                       2                         3                      4                  5

1. Colle néoprène + essence C
2. Colle néoprène + acétone
3. Colle néoprène + essence C
4. Colle néoprène + acétone
5. Colle néoprène sans solvant

Comme les résultats ne sont pas concluant, que l’on n’a toujours pas réussi à dilué néoprène,et que l’on n’a pas réussi à trouver le vernis utilisé sur le papier à poncer.
On nous a donc proposé de travailler sur autre chose, mais tout en gardant le papier à poncer comme sujet. On nous a proposé de travailler soit sur de la mécanique, où on le travaillerait avec une pointe de saphir, ou travailler avec de l’optique comme le montre le schéma ci-dessous.




mercredi 21 janvier 2015


La colle
Le 14.01.2015 :
Nous avons essayé d’avancer dans nos recherche, mais nous n’avons rien trouvé de très concluant, comme réaliser une colle thermoplastique, et nous avons tenté de trouver le vernis utilisé sur le papier à poncer, mais en vain.
Puis nous avons tenté de savoir la quantité de solvant que l’on pouvait trouvé dans la colle néoprène et bicomposante.
Pour cela nous avons :
  • Peser une masse de papier,
  • Disposer de la colle dessus, en faisant en sorte de bien répartir,
  • Puis reposer la masse de papier avec la colle, de la on en a déterminer la masse de la colle disposé sur le papier.
  • On a laissé poser, puis repris la masse à divers moments.
A la fin, nous avons trouvé que la colle néoprène avait perdu 50% de sa masse, initialement elle pesait 6g environ ( sans la masse de papier ), et à la fin de notre expérience, elle pesait 3g environ ( sans la masse de papier ). Nous pouvons donc en conclure que la colle néoprène, a perdu la moitié de sa masse. La masse perdu est du aux solvants qui se sont évaporer.
Or sur internet, il est dit que les solvants qui constituent la colle néoprène représente 80% de son poids, donc on peut en déduire que lors de notre dernière peser, tous les solvants ne s’étaient pas encore totalement évaporer.
Tant dis que pour la colle bicomposante, elle a vu 20% environ de sa masse s’évaporer, au bout du même intervalle de temps.
Conclusion :
La colle néoprène est constitué en majeure partie de solvants contrairement à la bicomposante, cela à une influence sur le poids, sur la durée de séchage et sur son utilisation.
Le 21.01.2015 :
Nous avons tenté de diluer la néoprène, car étant trop épaisse, on a du mal à faire une fine couche lisse, lors de son étalage sur papier. Donc afin de permettre sa dilution, nous avons du nous procurer de l’essence C.




Nous avons mis un peu de l’essence C dans un bécher avec un peu de colle néoprène, nous avons tenter de diluer, mais en vain. Cela n’a pas marché, à la fin, notre colle a perdu de sa coloration, et il y a eu évaporation des solvants.

Nous avons essayé diluer de la colle UHU en tube avec l'essence C, celle-ci est devenu pâteuse, et impossible à appliquer sur du papier de façon homogène.

Puis nous avons essayer de la colle en spray, on y a déposé une première couche sur le papier, ajouté le sable, et remis une couche de colle par dessus, qui servirait de vernis. Nous verrons le résultat la semaine, car il faut laisser le temps que la colle sèche.

 


Donc la semaine prochaine, nous allons essayer d'avoir de la colle néoprène liquide ainsi que de la colle à bois, que nous allons dissoudre, afin de pouvoir poser une couche fine et homogène sur le papier.